Alex Hernandez revient sur la dure défaite contre Renato Moicano à l’UFC 271

Le poids léger de l’UFC Alex Hernandez a pris le temps de réfléchir à une défaite difficile contre Renato Moicano à l’UFC 271.
Dans la perspective de la nuit de combat de samedi, la plus grande préoccupation d’Alex Hernandez était son placement sur la carte. Puis, lorsque le deuxième tour de son combat avec Renato Moicano a commencé, il a eu toute une série d’autres problèmes à régler car il a été battu de pilier en poteau par le Brésilien avant d’être soumis.
Il a continué son thème d’en gagner un et d’en perdre un, ramenant son record à 4-4 lors de ses huit derniers combats.
Après avoir pris quelques jours pour réfléchir à ce qui s’est passé, Hernandez s’est rendu sur les réseaux sociaux plus tôt dans la semaine et n’a pas hésité à discuter de ses sentiments.
« Je t’aime tellement Texas. Merci pour le soutien samedi soir. Cette atmosphère est vraiment l’une des expériences les plus enivrantes et incroyables que je puisse espérer vivre dans ma vie. Je ne pourrais pas être plus reconnaissant. Merci @danawhite @seanshelby @mickmaynard2 @huntercampbell pour l’opportunité sur une carte aussi énorme. Je suis, bien sûr, extrêmement déçu de moi-même. La brutalité de ce sport réside dans la vulnérabilité de tout cela.
Ce fut une tournure rapide des événements. Bon contre-combo et accroc au corps qu’il a attrapé avec ce genou… n’avait jamais ressenti ça avant. Super boulot et chapeau à mon adversaire.
Je ne sais pas quelle est la prochaine étape. Celui-là était assez défaitiste. Peut-être m’essayer à l’art numérique ou piloter des drones pour le sport… J’ai entendu dire que ça tue.
Plus sérieusement, j’ai beaucoup à réfléchir. Les premières pensées après le combat ne sont pas irrationnelles mais elles sont impitoyables. Besoin de temps pour niveler la tête. Étant en partie idiot et en partie délirant, je vais probablement y aller une ou deux fois de plus juste pour m’assurer que toutes les vis sont desserrées. Nous verrons. Reconnaissant d’être vraiment VIVANT et d’avoir l’opportunité d’échouer dans de si grandes proportions.
Que les dieux de Charles Oliveira m’accordent la sagesse.
Merci pour votre lecture 🙂