Jiu Jitsu Brésilien

« Je suis allé à Tijuana avant EBI pour m’injecter des Ster**ds »

Dans une révélation surprenante, le champion de Jiu-Jitsu Craig Jones a ouvertement discuté de son utilisation de stéroïdes avant de participer au tournoi Eddie Bravo Invitational (EBI). Cet aveu met en lumière le problème omniprésent des drogues améliorant la performance (PED) dans le sport, y compris dans les arts du grappling, qui passent souvent sous le radar réglementaire par rapport aux sports plus traditionnels.

Déballer la confession

Craig Jones, connu pour son style de lutte dynamique et ses succès en compétition, a fait une confession franche qui a ému la communauté des arts martiaux : « Je suis allé à Tijuana avant le tournoi EBI pour m’injecter des stéroïdes. » Cet aveu n’est pas seulement un choix personnel, mais met en lumière un problème plus large au sein du sport concernant les pressions auxquelles les athlètes sont confrontés et les efforts qu’ils déploient pour rester compétitifs aux plus hauts niveaux.

La réaction et les implications

La réaction à la déclaration de Jones a été mitigée, certains appréciant sa transparence, tandis que d’autres s’inquiètent de l’intégrité du Jiu-Jitsu compétitif. L’utilisation de stéroïdes dans le sport est une question controversée, ayant des implications éthiques, sanitaires et équitables. L’ouverture d’esprit de Jones offre un aperçu rare des décisions personnelles prises par les athlètes et des pressions existantes qui peuvent influencer ces choix.

Risques pour la santé et préoccupations éthiques

Les stéroïdes, bien qu’ils améliorent potentiellement les performances, comportent des risques importants pour la santé, notamment des lésions hépatiques, un risque accru de maladie cardiaque et des déséquilibres hormonaux. D’un point de vue éthique, l’utilisation des PED soulève des questions sur l’équité et l’essence naturelle de l’esprit sportif. L’aveu de Jones suscite un discours nécessaire sur les risques pour la santé associés aux stéroïdes et les dilemmes éthiques auxquels les athlètes et les régulateurs sont confrontés.

Défis réglementaires et avenir du sport

Cet incident met en lumière les défis réglementaires dans les sports de lutte, où les tests de dépistage des PED ne sont pas aussi rigoureux ou systématiques que dans les sports olympiques ou les ligues professionnelles. L’avenir du Jiu-Jitsu et des disciplines similaires pourrait dépendre de la manière dont ces sports abordent l’utilisation des PED, en équilibrant la santé des athlètes, l’équité et l’intégrité du sport.

Aller de l’avant : éducation et réglementation

Améliorer l’éducation sur les dangers de l’utilisation de stéroïdes et améliorer les mesures réglementaires pourraient constituer des avancées vitales. En favorisant un environnement qui donne la priorité au fair-play et aux choix éclairés, la communauté peut mieux aider les athlètes à prendre des décisions conformes à leurs normes de santé et d’éthique.

L’aveu audacieux de Craig Jones ouvre des conversations critiques sur les drogues améliorant la performance dans le Jiu-Jitsu. Alors que la communauté réfléchit à cette question, l’accent devrait être mis sur la sauvegarde de l’intégrité du sport, sur la garantie d’une compétition loyale et, par-dessus tout, sur la promotion de la santé des athlètes.

Avant son superfight avec Rafael Lovato Jr, Craig Jones a parlé du « Steroid Pack » :

« Les gars, l’épidémie de sauna et de bain de glace n’est pas une question de guérison, c’est une question de solitude. Vous voulez prendre la récupération au sérieux, prendre des stéroïdes, et voici ma pile de stéroïdes révélée ici : 200 mg de cypionate de testostérone, 200 mg de déca et 50 mg par jour d’anavar. C’est ce que j’emporterai pour ce match contre Rafael Lovato, et c’est fourni par mon sponsor, Evertitan.



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