Olivier Aubin-Mercier admet n’avoir rien ressenti après avoir remporté le tournoi des poids légers du PFL : « Ce n’est pas normal »

Olivier Aubin-Mercier, vainqueur du tournoi des poids légers de la PFL, savait qu’il était temps vendredi soir.
Au cours du week-end, « The Canadian Gangster » est revenu contre Clay Collard dans l’événement principal du PFL 10. L’offre à la carte a vu le retour de noms tels que Kayla Harrison, mais mettait en vedette Olivier Aubin-Mercier dans l’événement principal. Pour sa part, il est entré dans le combat sur une séquence de neuf victoires consécutives et a remporté la saison précédente des poids légers.
En PFL 10 face à « Cassius Clay », Olivier Aubin-Mercier a réalisé un dix parfait d’affilée. Il a dominé le boxeur, utilisant son grappin suffocant pour remporter le combat de cinq rounds par une décision unanime déséquilibrée. Avec cette victoire, il est devenu un vainqueur consécutif du tournoi et a remporté 1 million de dollars supplémentaires.
Après le combat, Olivier Aubin-Mercier a pris sa retraite du MMA. Avec Ariel Helwani, il a discuté de son raisonnement pour raccrocher les gants. Là, il a admis qu’il n’aimait tout simplement plus ce sport et qu’il ne ressentait plus grand-chose après avoir remporté le combat vendredi soir. Pour lui, c’était un signe majeur de retraite.

Crédit d’image : PFL
« Ce qui est étrange, c’est que je voulais certainement terminer ma carrière sur une bonne note. Mais en réalité, je n’ai rien ressenti lorsque j’ai gagné. Olivier Aubin-Mercier a admis quelques jours après sa retraite du MMA. « Je ne ressentais rien à propos de ce sport, mais j’étais vraiment ému de revoir ma famille et les gens que j’aimais. Je pense que c’est un bon signe : c’est peut-être la fin, il est peut-être temps d’arrêter.
Il a poursuivi : « Ce n’est pas normal que vous ne ressentiez rien lorsque vous gagnez l’un des plus grands combats de votre carrière. Je m’en fichais, je m’en fichais. J’avais juste hâte de revoir les gens que j’aimais… Le jour où je me suis battu, je n’ai pas pensé au million. Je ne pensais à rien d’autre qu’à terminer ma carrière sur une bonne note.