Jiu Jitsu Brésilien

« JJB est entré dans ma vie au bon moment »

Quel âge aviez-vous lorsque vous avez commencé à pratiquer le Jiu-Jitsu Brésilien ?
Robert Drysdale avait 17 ans… Et il sent que BJJ l’a trouvé au bon moment dans la vie.

Il a expliqué pourquoi dans une interview avec BJJEE, avec un argument contre l’entraînement compétitif pour les enfants :

Je crois que j’ai trouvé BJJ – ou, mieux encore, que BJJ m’a trouvé – au bon moment de ma vie.

Pour comprendre ce que je veux dire par là, je dois dire que, même si je crois qu’il faut commencer les enfants jeunes en BJJ, je ne suis toujours pas partisan de les pousser de manière compétitive à un jeune âge.
Les enfants concourent souvent parce qu’ils sont poussés à le faire par leurs parents et c’est un type de motivation de très courte durée.

C’est pour cette raison que je crois que les adolescents sont le groupe démographique clé pour le BJJ ; puisqu’à cet âge-là, ils sont au gymnase parce qu’ils ont choisi d’y être.

C’est pourquoi, essentiellement, Drysdale pense que BJJ est venu au bon moment pour lui, quand il avait 17 ans.
Bien qu’il y ait plusieurs raisons pour lesquelles il s’est senti attiré par cela:

Tout d’abord, j’ai toujours été attiré par le combat et je crois que c’est un de mes traits innés qui a influencé mon parcours en Jiu Jitsu.

Deuxièmement, je suis fasciné par la stratégie et la technique qui sous-tendent le BJJ. Je sais que je suis partial en disant cela, mais le BJJ est certainement l’une des formes d’expression corporelle les plus complexes, car les possibilités qu’il offre sont infinies…
Ajoutez à cela les éléments physiologiques et psychologiques de l’art et vous avez devant vous quelque chose d’extrêmement complexe.

Je suppose que ce sont les raisons immédiates pour lesquelles j’ai été attiré par BJJ.

Mais, plus important encore, cela a satisfait un besoin profondément ancré chez moi de trouver l’épanouissement et le sens de la vie.
Le Jiu Jitsu brésilien m’a donné un sens et m’a permis de rester concentré sur la tâche à accomplir, à tel point que c’était comme si le reste du monde avait été fermé et qu’il n’y avait que moi et les tapis.

C’est un bel endroit pour faire partie et vivre.



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