« Un entraîneur ne devrait pas nourrir l’ego de l’athlète »
Qu’est-ce qui fait un bon entraîneur de Jiu-Jitsu brésilien ? Bien, Fabio Gurgel estime qu’il n’y a pas de « grand secret ».
Vous devez investir du temps et des efforts dans votre métier, et offrir si possible des opportunités à vos étudiants :
Il faut travailler dur, être loyal et honnête. Une chose que je fais, c’est que j’essaie toujours de créer des opportunités pour mes athlètes, afin qu’ils puissent vivre de ce qu’ils aiment faire.
Je pense que c’est ce qui les rend heureux et motivés pour construire l’équipe que nous avons aujourd’hui.
Cependant, Gurgel souligne également qu’un bon entraîneur ne devrait mettre aucun de ses élèves sur un piédestal. Tout le monde doit être traité de la même manière :
D’un autre côté, je crois qu’en plus d’être un travailleur acharné et de créer des opportunités, l’entraîneur doit faire très attention à ne pas nourrir l’ego de l’athlète.
Parfois, vous mettez un bon athlète sur un piédestal et, sans le voir, vous renversez tous les autres membres de votre équipe.
L’essentiel est le suivant : traitez tout le monde de la même manière. L’engagement doit être une règle pour chacun des membres du groupe, quel que soit le nombre de titres qu’ils possèdent.
Et oui… Si vous souhaitez que votre école et votre entreprise continuent de se développer, vous devez accorder une attention particulière aux débutants :
Ils constituent le fondement de votre école et sans eux, il n’y a aucune chance de constituer une équipe performante.
Le problème en vous concentrant uniquement sur l’équipe de compétition est que vous réduirez probablement votre groupe à quelques dizaines d’étudiants.
Et de cette façon, cela devient tout simplement plus petit, par opposition à une approche dans laquelle vous pourriez consacrer votre énergie à construire une école de Jiu Jitsu avec des centaines d’étudiants – auquel cas vos chances de trouver de bons talents augmentent également de manière significative, donc votre équipe de compétition apparaît soudainement en soi.
Assurez-vous de lire l’intégralité de notre entretien avec Fabio Gurgel sur le lien suivant.
