John Danaher explique le problème qu’il a avec les bracelets

Les Wristlocks font partie de ces soumissions sympas que les ceintures bleues et violettes du JJB ont tendance à beaucoup essayer lors des séances de roulage… Mais sont-elles efficaces dans leurs tentatives ? C’est-à-dire : les bracelets fonctionnent-ils ?
La réponse est bien sûr oui. Bracelets faire travail. Cependant, ils ne sont pas aussi dominants que les autres types de soumissions ; simplement à cause du manque de connaissances préalables contrôle.

John Danaher précise :

Le verrou [submission] que vous sélectionnez est vraiment basé sur la quantité contrôle vous avez (avant d’établir le confinememnt). Le verrou n’est qu’un point à la fin de la phrase. C’est la phrase qui compte – et cette phrase est contrôle.

Il donne un exemple à travers la nature du jeu Leglock :

Quand j’ai commencé avec Leglocks, le grand problème que j’ai vu avec le leglockage – dans les années 1990, par exemple – était qu’il n’y avait aucun contrôle. C’étaient juste des mouvements pour lesquels nous sautions et espérions qu’ils fonctionneraient.
Vous essaieriez de l’appliquer le plus rapidement possible, avant que l’autre puisse réagir. Parfois ça marchait, parfois ça ne marchait pas. C’était plus ou moins un geste de désespoir. En conséquence, ce manque de contrôle s’est traduit par de nombreuses blessures et de nombreux échecs.

Mon objectif était de changer la nature du leglocking en un jeu basé sur le contrôle, de vraiment faire une étude approfondie de l’ensemble de l’Ashi Garami, afin que vous puissiez contrôler les gens pendant de longues périodes.

Par conséquent, le professeur Danaher estime que les Wristlocks ne sont pas très efficaces simplement parce qu’il n’y a pas suffisamment de contrôle avant leur exécution :

Je ne dis jamais à personne : « Ce genre de confinememnt articulaire est inefficace. » Ma question n’est pas de savoir si le confinememnt est efficace, mais c’est toujours : « Quelle est l’efficacité du contrôle avant le confinememnt ?

Le problème que j’ai avec les Wristlocks est très peu de contrôle avant l’application du mouvement.
Donc, actuellement, ils ont tendance – dans la majorité des cas – à être des mouvements qui peuvent avoir un effet utile, pour amener les gens à bouger d’une certaine manière… Ils peuvent avoir un bon effet de distraction. Mais il n’existe pas d’ensemble systématique de contrôles menant à la demande.

Il s’en explique davantage dans la vidéo ci-dessous, dans une interview avec Roger Gracie :