Alexander Volkanovski estime qu’un KO est nécessaire contre Islam Makhachev : « Je ne peux pas me permettre de faire autre chose »

Le champion poids plume de l’UFC, Alexander Volkanovski, pense qu’il terminera Islam Makhachev samedi.
« Le Grand » se trouve dans une position dans laquelle il ne s’attendait pas. Après avoir battu Yair Rodriguez pour la dernière fois en juillet, Alexander Volkanovski aurait dû affronter Ilia Topuria en janvier. Cependant, en raison d’une blessure de Charles Oliveira, il interviendra à bref délai pour affronter Islam Makhachev ce week-end.
Le match revanche des deux hommes intervient quelques mois seulement après leur première rencontre à l’UFC 284. Lors de l’événement principal ce soir-là en Australie, les deux champions se sont battus coup pour coup lors des cinq tours. Alors qu’Alexander Volkanovski estimait qu’il méritait le feu vert ce soir-là, Islam Makhachev a plutôt conservé son titre des poids légers par décision unanime.
C’est à cause de cette défaite par décision unanime qu’Alexander Volkanovski aborde différemment le match revanche. S’adressant à Ariel Helwani, « Le Grand » a prédit une victoire finale sur Islam Makhachev. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi, le champion a déclaré que c’était son état d’esprit, surtout après la défaite serrée la dernière fois. Il pense également qu’une victoire par arrêt serait énorme pour son héritage.
« Je crois que je l’achève. » Alexander Volkanovski a déclaré lorsqu’on lui a demandé une prédiction pour son match revanche avec Islam Makhachev. « Vous allez voir l’un des Volkanovski les plus dangereux que vous ayez jamais vu. C’est simplement parce que je n’ai pas les moyens de faire autre chose, c’est comme ça que je vois les choses. Je veux voir les choses de cette façon. C’est comme si je le regardais en disant « Très bien, allons-y, nous allons tuer », tu vois ce que je veux dire ?
Il a poursuivi : « Arrêtez de laisser le soin aux juges, allons-y et faisons vraiment une déclaration. J’ai un préavis de 11 jours, dans sa ville natale, pour y aller et le faire sortir. Mon pote, nous parlons de choses héritées. Ce combat en lui-même est un héritage, mais le mettre KO, ce sera époustouflant pour le monde entier. Je ne peux pas attendre.